Déroutant

Déroutant désigne ce qui surprend, déstabilise ou trouble, rendant difficile la compréhension, l’orientation ou la réaction. Cela peut concerner une situation, un comportement ou une idée inattendue. Mais pour moi, c’est autre chose.

Quelques jours avant octobre, j’ai décidé de faire Inktober et Linktober en même temps.
J’ai aussi voulu tester un nouveau format sur trois plateformes simultanément.
Il fallait lui donner un nom, et je n’ai rien trouvé de mieux que mon “défi débile”.
J’ai pris une direction que je n’aurais peut-être pas dû prendre.

La visibilité, le peu qu’on récupère en tout cas, ne suffit pas à me nourrir.
Je continue de penser que c’est avec le vrai réseau qu’on peut établir des contrats, des partenariats…
De cette tentative étrange, de ce bombardement (l’expression n’est pas de moi, mais elle est top), mes posts sont de moins en moins vus sur LinkedIn, idem sur Instagram.
Il n’y a que YouTube qui monte à +3000 % mais je pars de rien.

Heureusement, je ne cherche ni likes ni ventes (pas pour le moment, soyons honnête).
Je ne suis même pas certain que les gens sachent précisément ce que je propose.

Mis à part faire l’idiot devant une caméra au réveil…
Au moins, si quelqu’un veut savoir un peu qui je suis au quotidien, cet exercice m’aura permis de me montrer tel que je suis et de mettre de côté cette peur de se montrer et de ne pas plaire sur les réseaux.

Heureusement que je m’éclate à faire ces posts, ces dessins et ces vidéos !
Je commence ma journée en me marrant, et c’est le principal.
Je me moque de moi-même très facilement et prends peut-être mon image un peu trop à la légère.

Heureusement, parmi vous, certains me likent quand même, me suivent ou acceptent qu’on reste en contact. J’ai décidé que tous mes likes devaient mériter un commentaire, pour au moins dire pourquoi je like.

Bon… encore faut-il que j’aie le temps !
Ce gros post bien dense va certainement vous sembler #déroutant.
Ça tombe bien, c’est le mot du jour.

On est dimanche, vous ferez un effort…
Pour répondre au pourquoi, ce sera pour le 31.
La grosse question que je me pose maintenant, c’est… est-ce que je continue en novembre ?

Je suis capable de sortir des mots qui n’ont pas toujours beaucoup de sens.
J’ai cru entendre parler d’un autre défi débile : 2000 mots par jour.
Pourquoi pas…