Marc Forest

Originaire de Saint-Lô, j’ai grandi sur Cherbourg. J’ai navigué entre l’Irlande et le sud de la France pour m’ancrer finalement en Normandie, à mon point de départ. Ces petites boucles migratoires se manifestent par le dessin.

Je noircis des carnets, empile ses croquis et épuise ses mines de crayons. Après un bout de chemin en tant que professionnel dans la communication, je change de cap et décide de devenir artiste comme je l’ai toujours souhaité.

Depuis mes premiers “carrés de couleurs” exposés en 2022, je multiplie les techniques : iPad, lavis, aquarelle, acrylique et tout j’utilise differents supports : tirages d’art, tableaux, films d’animation, carnet de voyage, concerts dessinés, bâches.

Illustrateur et dessinateur acharné

Mon truc, c’est le dessin. Sous toutes ses formes, je le pratique un peu tous les jours pour garder le contact. C’est devenu un moyen pour moi de m’exprimer qui ne m’a jamais trahi. Je poursuis mon exploration du dessin sous différentes formes et différents médias.

Une bonne journée consiste à dessiner pendant au moins trois heures, si ce n’est pas le cas, il me faut trouver une alternative pour me dire que j’ai rempli pa journée correctement. J’ai souvent du mal à justifier un autre moyen d’expsression que mes crayons.

Cultiver la créativité en mode permaculture

J’ai compris que le réseautage permet de créer de nouvelles formes de créativité.
Travailler à plusieurs permet de trouver des idées qu’on n’aurait pas soupçonnées avant même de prendre un crayon. C’est cette façon de voir la vie qui me plait. Je me sens capable d’illustrer ce qui se présente devant mes yeux, du moment qu’on s’en donne les moyens.

Un de mes crédos : adapter mon dessin à votre idée

J’ai aussi appris à ne pas dessiner uniquement pour moi-même. J’aime réfléchir à une vision différente de la mienne. D’une certaine façon, je pense que cette forme d’illustration de commande est très complexe mais pas insurmontable. En prenant le temps d’analyser avec qui je travaille, je peux trouver des idées qui reflètent les échanges, les points de vues et les bonnes directions.

Facilitateur graphique motivé

La facilitation graphique m’a permis de mettre du dessin là où il n’est pas attendu. Je suis certain de la pertinence de cette technique dans mon processus créatif. Elle me permet également de choisir mes clients avec soin pour établir une collaboration gagnant-gagnant très rapidement.

Scribing en direct pour événements professionnels

J’ai développé une passion pour la prise de notes et en particulier pour le sketchnoting. Le scribing est juste un prolongement de cette technique puissante de la facilitation graphique. Elle permet de mettre en place une certaine forme de cohésion au fil de mes rencontres.

Découvrir et explorer des sujets complexes

Je suis ravi d’entendre quelqu’un me dire que son sujet est plus complexe qu’il n’y paraît et qu’il sera difficile de le représenter visuellement. Cela veut dire que j’aurai sûrement du plaisir à le représenter correctement lors d’une récolte graphique.

Formateur spécialisé tournant autour du dessin

Depuis quelques années déjà, j’arrive à concilier formation et envie de dessiner. Toutes les occasions sont bonnes à préparer un cours quand il s’agit de dessiner : storyboard, roughs, dessins d’observation, , animation 2D, atelier de créativité, formation à la faciliation graphique…

Formation pratique en prise de notes visuelles

J’ai commencé par analyser un peu ma pratique pour en développer une formation en 2 jours. Il est parfois important de prendre du recul sur son travail. Le meilleur moyen de maîtriser une compétence est d’en proposer une formation. Le fait même de réfléchir à une idée de transmission d’un savoir permet d’aller plus loin que son point de départ.

Un amoureux du dessin et de l’image

Je me sers assez souvent de ma passion pour le cinéma, la bande déssiné et le cinéma d’animation pour embarquer avec moi mes apprenants. Il y a déjà tant à découvrir de ce côté là au niveua du dessin. Je suis très fier et très heureux de pouvoir transmettre une partie de mon savoir faire à des étudiants en soif d’apprendre. Petits ou grands, cela ne fait aucune difference.

Entre lavis, pixel et paysage intérieur

Je suis un artiste visuel originaire de Saint-Lô, en Normandie. J’explore les possibilités du dessin, de l’aquarelle et de l’art numérique dans un travail profondément marqué par la lumière, la matière et la mémoire des lieux. Discret mais exigeant, je construis patiemment un univers personnel fait de lavis, de compositions carrées colorées, et de paysages imaginés ou revisités.

Une formation visuelle plurielle

Je me considère comme un artiste de l’image. Le dessin est pour moi un besoin physique, une pratique quotidienne qui révèle une constance dans la recherche, l’observation et la fabrication de nouvelles œuvres.

Le carré comme contrainte créative

Depuis plusieurs années, j’ai fait le choix d’un format particulier pour nombre de mes œuvres numériques : le carré de 40 × 40 cm. Ce format est devenu un véritable terrain de jeu pour moi. J’y trouve une contrainte fertile. Le carré impose une symétrie, une tension qui resserre le champ du regard et oblige à des compositions précises.

Ces œuvres numériques, je les imprime ensuite en digigraphie sur papier d’art, avec une exigence de qualité élevée. Loin d’un art numérique froid ou standardisé, mes carrés proposent une approche tactile du pixel, une recherche sur la matière de la couleur, de l’usure et de la lumière. J’y vois une forme d’abstraction poétique nourrie par l’observation.

Je ne peins pas les lieux tels qu’ils sont, mais tels qu’ils apparaissent dans la mémoire. Mes œuvres sont traversées par une question : que reste-t-il d’un lieu une fois le so

Je travaille souvent à partir de photos qui nourrisent mon appetit pour le dessin et l’illustration. Dans mes séries de carrés, on reconnaît parfois un rivage normand, une ruelle de Saint-Lô, un pan de falaise.

Du geste et de la pratique…

Même dans mes œuvres numériques, le geste reste fondamental. Je dessine sur iPad avec le Pencil. Je travaille dans ma salle à manger, entouré de mes livres, mes carnets, de papiers d’art, d’encres, et de mon matériel numérique.

Mon emploi du temps idéal est composé de trois heures de dessin par jour minimum. Cette régularité quotidienne est pour moi un socle. Depuis mon installation en tant qu’artiste indépendant en 2022, j’ai intensifié ma production personnelle.

Que veux dire le surnom Omercrafts ?

C’est l’anagramme de Marc Forest, tout simplement.
À l’origine créé pour un devoir de philosophie au lycée, il signifie l’artisanat d’Omer.
Omer est une autre facette de moi, cette part de créativité qui sommeille en chacun de nous.